Et si la guerre en Ukraine devenait l’alibi parfait à Macron ?
Hier soir, 5 mars 2025, alors que les écrans diffusaient les dernières nouvelles d’un conflit ukrainien qui s’éternise, une petite phrase a peut-être échappé aux radars. Rien de bien concret, juste un murmure qui aurait pu se faire entendre dans les couloirs de l’Élysée, une rumeur qui colle trop bien au puzzle…ou un message anodin sur X qui n’est pas si bête que ça en fin de compte.
« Je ne serai pas surpris que Macron cherche à provoquer une grave crise pour suspendre les élections en 2027 et garder le pouvoir », glisse un internaute…
Je ne serai pas surpris que Macron cherche à provoquer une grave crise pour suspendre les élections en 2027 et garder le pouvoir. https://t.co/TV3q9kHDpR
— Maxime THEBAULT (@MaximeTHEBAUL10) March 5, 2025
Et si la guerre en Ukraine, ce bourbier sans fin, devenait le prétexte rêvé pour un tel coup tordu ?
Il ne m’en fallait pas plus pour analyser la situation et me pencher sur cette question un plus philosophique et intelligente que celle de savoir si, lorsqu’on pète, on peut trouer son slip…
Allons-y !
Une crise importée pour un agenda local
Imaginons : les tensions en Ukraine s’enveniment encore, avec des annonces choc – peut-être une escalade militaire ou une implication accrue de l’OTAN.
Macron, qui ne rate jamais une occasion de jouer les chefs de guerre en costard, pourrait saisir ce chaos. (j’ai dit imaginons mais…heu…non rien)
Une crise internationale majeure, ça vous pose un homme. Et si elle déborde sur le sol européen, via des cyberattaques russes ou des vagues migratoires amplifiées, voilà un décor parfait pour justifier des mesures « exceptionnelles ».
Il a deux ans à ne rien faire, autant en profiter pour entretenir à plein temps un climat de peur pour préparer la stratégie digne d’un plan machiavélique…
Et voici que débarquera en 2027…l’article 16 de la Constitution, ce joker présidentiel, n’attend qu’une étincelle pour entrer en scène.
L’article 16 = Macron sur le trône jusqu’à la Saint Glinglin ?
Niché dans la Constitution de 1958, ce texte permet au chef de l’État de s’octroyer les pleins pouvoirs en cas de « menace grave et immédiate » pesant sur les institutions, l’indépendance ou l’intégrité du territoire.
De Gaulle l’a utilisé en 1961 pendant la guerre d’Algérie, cinq mois sans démocratie, et ça n’a choqué personne à l’époque.
Aujourd’hui, dans un monde de crises sur mesure, c’est une arme en or pour un Macron qui pourrait transformer une guerre lointaine ou un chaos domestique en prétexte pour dire :
Circulez, y’a plus d’élections à voir.
Et la mécanique de la terreur est lancée depuis ce jeudi 6 mars 2025 matin…
La guerre comme carburant
Hier soir, on parlait encore de soutien à Kyiv, de sanctions contre Moscou.
Mais derrière les discours, Macron pourrait voir plus loin.
Une France en état d’alerte, des institutions « protégées » face à une menace extérieure, et hop, les élections de 2027 passent à la trappe.
Macron, rédacteur en chef de toute la presse française ! pic.twitter.com/mTn5ZDC6I7
— Myriam Palomba (@myriampalomba) March 6, 2025
Les pions sont déjà là : une armée sur les dents, une population fatiguée, et un narratif bien rodé sur la « sécurité nationale » et un « La patrie à besoin de vous« .
La guerre en Ukraine, avec ses rebondissements imprévisibles, pourrait être le détonateur idéal pour ce plan machiavélique.
Et si c’était déjà en marche ?
Regardez ses derniers moves : il muscle le ton face à Poutine, envoie des signaux ambigus sur des troupes au sol.
Hier, il a encore joué les équilibristes diplomatiques. Coïncidence ? Peut-être pas.
Si la crise ukrainienne dégénère, Macron aura tout pour dire :
Pas d’élections, pas maintenant, c’est trop risqué.
Et nous, on avale ça, sonnés par les breaking news.
Prochaine étape ? Muselage des réseaux sociaux pour isoler le pays et permettre une installation en douceur de goût amer de dictature…
Alors, 2027 : démocratie ou dictature déguisée ? À vous de lire entre les lignes.
[…] En tous cas, moi c’est ce que je vois arriver gros comme le brandissement de la carte joker « Article 16 » par Macron 1er, quelques mois avant les élect…… […]
[…] 2027 sera-t-il son heure ? La réponse dépendra autant de sa capacité à s’adapter que de la lassitude d’un peuple en quête de sens, et à la tournure que prendra d’ici là le plan machiavélique de Macron que je vois personnel…. […]